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 Bryan Singer, un auteur

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Tayelore
Baboula (adjoint du taulier)
Tayelore


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MessageSujet: Bryan Singer, un auteur   Bryan Singer, un auteur Icon_minitimeLun 17 Juil - 0:16

Ecrit donc avant Superman Returns il y a un mois lorsque Mz s'interoogeait sur ce qu'il juge etre l'impersonnalité de Singer salut

So, here we go Very Happy

soyons clair , Singer se réclame d'un cinéma typiquement hollywoodien C sur cette base à mon sens ,qu'il faut le juger..

si je devais mettre des mots sur ce qui caractérise la mise en scène de Singer ,élégance ,subtilité et paradoxalement , meme si bien sur ce n'est pas forcément indissociable puissance .(.de plus en plus)

élégance que ce soit pour le choix des décors ou les costumes (souvent au moins pour ses points de départs sobre , feutré ou froid suivant les ambiance mais plus Armani que Nike quoi )...élégance dans la composition des plans apportant des ambiances souvent tendue : voir par exemple la première scene de Usual suspect ou avec quelques éléments fortement charactérisé,avec un soucis du détail (pour usual le coté fantomatique noir de Keyser , le coté humide de la scene ,la position abattue de Byrne avec sa mine abattue ,mais aussi son ambiguité , son mystere...qui plus tard dans le film servira bien le sentiment de mystere de confusion et par la d'enquete que Singer désire ) voir aussi la scene tendue , presque flippante du sénat au début de X1 ou avec quelques détails une assemblée concernée à l'inquiétude palpable dans un décor marronatre , presque rougeatre , mené par un sénateur Américain bon tein a l'attitude de requin ( mais à l'oeil inquiet aussi , trés humain au fond ) filmé en contre plongé lorsque cette meme assemblée l'applaudit emphatisant son coté dangereux , puissant, fanatique ....

un crane de dos , un mouvement de caméra circulaire découvrant Xavier alors qu'on parle de la dangerosité des mutants télépathe...la subtilité est de mise chez Singer en ce qui concerne la psychologie (scene de pyro dans X3 chez les Drake ou avec peu de temps il fait passer bcp de choses la ou d'autres aurait fait un grand discours ) il a par la une forte. habilité pour faire passer de la charactérisation de perso au milieu de scene d'action ou du suspense(X2 : wolverine et les gosses en fuite , en voiture..l'obscurité , des gestes nerveux un cadre resserant cette tension ..un regard triste confus de wolverine a qui on demande qui est stryker , geste tjrs nerveux , symbolique mais qui transpire aussi l'affection ou malicia lui redonne son médaillon ..)

forte tension donc et puissance en meme temps emphatisé par des mouvements de caméras souvent trés fluide (voir toujours dans la scene de usual scene comment "tranquillement" la caméra suit la trainée de feu ) par la donc forte aptitude au suspense qui monte à crescendo (voir comment par exemple il pose l'atmosphere dans l'attaque de la baraque de X2 ...un gosse ,l'obscurité le silence ...la caméra le domine , point de vue des soldats qui envahisse la baraque comme des cafards..bel emploi au passage du fond sonore qui acheve de donner ce coté presque insecte aux soldats..)subtilité , élégance (mais puissance) toujours avec des mouvements de caméras meme dans les moments "spectaculaire" n'essayant pas spécialement que l'on porte attention a eux ,accent l'attenttion sur ce qui se passe dans le champs et pas le contraire (et pourtant trés travaillés : voir la scene de diablo a la maison blanche par exemple ou il démontre aussi par ailleurs un talent pour gérer l'espace , plonger le spectateur au au coeur de l'action...

des images pourtant aussi parfois (et de plus en plus ) trés iconiques : Wolverine se redressant enragé avec une réelle dimension de fauve dans la scene de la cage au début de X1 ... Keyser dans un flashback ,aux cheveux long , le visage dans l'obscurité , semblant presque sortir du feu , semblant presque renaitre tel le phoenix ) Jean Grey séparant les eaux de manière biblique avant d'en etre recouverte..

et c la qu'on peut en arriver a sa thématique : ses personnages meurt et renaissent ( Jean Grey , wolverine , Keaton , ) sont confus ,triste perdus en quete d'identitée(interessant de noter que Singer est lui meme enfant adopté déraciné d'Angleterre ) ,des outsider , des gens en marge bons mauvais(les Xmen bien sur , mais aussi les criminels de Usual et bientot Superman )mais souvent avec des nuances de gris parfois sciemment brouillant les pistes de maniere diabolique une fois qu'ils l'ont trouvé ( mystique , Keyser, ) par la ses confrontations entre ces personnages en quete d'identité , de revendication aussi de leur personne se traduise parfois par de véritables parties d'échec psychologique ( littéral meme pour la confrontation Xavier /Magneto dans X1 , mais un peu plutot déja dans le film au sénat) comme avec la confrontation mc Kellen Renfro dans Usual ..

Le cinéma de Singer est un cinéma des démon interieur et exterieur , hurlant interieurement de souffrance ,de tristesse et de haine , pour plus tard exploser aux yeux du monde ..Un cinéma généreux.
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MessageSujet: Re: Bryan Singer, un auteur   Bryan Singer, un auteur Icon_minitimeLun 17 Juil - 11:34

Merci à toi Tayelore pour avoi rpris la peine d'écrire ce looooong texte décrivant tout autant ce que tu ressens face aux films de Singer que ce que tu as pu en tirer cinématographiquement. Je pense me remater quelques un de ses films avant de retenter Supes (une projo au Grand Rex le ferait...mais VF... Confused ). En tout cas, c'est très intéressant. J'avoue n'avoir quasiment jamais bloqué sur les éléments dont tu parles: je n'ai presque pas de vraies bases pour le cinéma hollywoodien (ben oui, les films asiatiques, le cinéma indépendant (expérimental ou pas) et le cinéma d'action ok, mais il me manque certaines bases).

Donc, je vais creuser la question, mais si Yann peut nous faire un topo, alors c'est cool.
Et vu l'effort fait, je ferai de même avec Rodriguez (promis et repoussé depuis bien longtemps).
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Yann Danh
Le Taulier
Yann Danh


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MessageSujet: Re: Bryan Singer, un auteur   Bryan Singer, un auteur Icon_minitimeLun 17 Juil - 12:32

J'avais dit que je le ferai... donc je viendrai apporter ma ptite pierre... mais sorry là je suis un peu TRES occupado et quitte à le faire, je voudrai prendre le temps de m'y atteler... donc un poquito de patience.

Voilouuuu... Mais good Good Tayelore pour ta tite analyse. Smile

i'll be back Wink
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MessageSujet: Re: Bryan Singer, un auteur   Bryan Singer, un auteur Icon_minitimeLun 17 Juil - 12:37

Ah ben je serai patient: le taf avant tout m'sieur.
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Yann Danh
Le Taulier
Yann Danh


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MessageSujet: Re: Bryan Singer, un auteur   Bryan Singer, un auteur Icon_minitimeMer 19 Juil - 4:11

C'est pas croyable... j'étais en train de faire un tit break, je me dis "tiens ca serait bien que je commence à prendre des notes pour mon portrait de Singer"... Mon analyse...

Puis bon, je me dis : Demain...

Alors je passe sur un tit site où j'aime bien trainer et où il y'a souvent de Bons articles...

ET voilà que je tombe sur... UNE ANALYSE du cinéma de Singer!

Je me met à lire et je me retrouve à faire des oui de la tête et en vient à me dire! Voilààà, le mec à VRAIMENT TOUT SAISIT!

Donc voici un article (certainement bien mieux que ce que je pourrai écrire) qui dit EXACTEMENT ce que je pense du travail de Mr ... BRYAN SINGER !

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Révélé au monde entier avec l’arrivée sournoise de son deuxième long métrage, Usual Suspects, en 1995, Bryan Singer a par la suite fait son chemin depuis le réseau indépendant jusqu’au système hollywoodien, lançant pour de bon la vague des films de super-héros, dont il va par ailleurs ramener la principale figure, Superman, dans son nouveau film. Alors que l’on pourrait penser que sa filmographie se divise en deux blocs de trois films chacun – une trilogie sur le Mal et un triptyque comic book -, le cinéma de Singer témoigne de plusieurs thèmes qui émergent même de ses films les plus commerciaux, non moins personnels. Une Amérique sclérosée, l’attrait pour les figures maléfiques, l’importance de la cellule familiale, autant de thèmes qui font de Singer un auteur à part entière.


BORN IN THE USA


A première vue, il serait facile de disqualifier le corps de travail du réalisateur comme étant relativement impersonnel, or il suffit de connaître quelques informations sur sa vie personnelle pour déceler ça et là dans son œuvre plusieurs récurrences thématiques suffisant à faire de Singer autre chose qu’un simple faiseur. Enfant adopté et élevé par une famille juive, Singer a également fait son coming out tôt dans son parcours et affirme que le fait de grandir au sein de telles minorités, la communauté juive et la communauté homosexuelle, a influencé son travail sur X-Men (2000) notamment. Mutants "haïs et craints" par le reste du monde, les héros des deux films de Singer sont évidemment représentatifs de cette facette de l’homme derrière la caméra. On se rappelle tous la scène d’X2 (2003) où Bobby Drake, alias Iceman, "sort du placard" et avoue à ses parents qu’il est un mutant, qui lui répondent alors "As-tu essayé de ne pas être mutant?" ou bien "Nous t’aimons encore, Bobby". Démocrate déclaré, Singer a su politiser son cinéma même lorsqu’il travaille sur des blockbusters. Ainsi, dans ses deux X-Men, il met en scène un sénateur républicain inspiré de McCarthy (déjà présent dans la bande-dessinée) ou encore un ersatz de George Bush à la Maison Blanche, tous deux initialement anti-mutants, représentants d’une Amérique encore discriminatoire. Ce propos, Singer le tient depuis son premier film, Ennemi public (1993). L’œuvre narre l’arrivée dans une petite bourgade tranquille, oh combien typique des Etats-Unis, d’un étranger qui loue un espace télévisé d’une chaîne locale afin de demander au peuple "ce qui ne va pas dans notre chère ville". Au cours de cette investigation, il a vent des dires d’un professeur gay récemment licencié, selon lequel le maire de la ville est corrompu. Ne croyant pas à ces rumeurs, il tue le professeur avant de découvrir le bien-fondé de ses allégations et, plutôt que de faire éclater la vérité, il passera sous silence ceux qui sont au courant plutôt que de souiller l’image d’Epinal véhiculée par la ville.


THE EVIL THAT MEN DO


Principal protagoniste d’Ennemi public, Whiley Pritcher (homonyme de " wily preacher", autrement dit "astucieux prêcheur") est la première incarnation du Mal selon Singer. A plus d’un titre, "ce qui ne va pas dans notre chère ville", c’est lui. Elément perturbateur dont l’émission va amener les habitants de Brewster à ruiner leurs relations de bon voisinage, Pritcher présente une image on ne peut plus séductrice, celle d’un homme physiquement attirant, toujours propre sur lui, calme même devant les provocations des téléspectateurs qui appellent le standard de la chaîne pour lui parler, rusé. En de nombreux points, il est l’ébauche du principal protagoniste du film suivant de Singer, Verbal Kint. Deuxième incarnation du Mal selon le cinéaste et probablement l’une des figures maléfiques les plus connues du septième art, il s’agit bien entendu de Keyser Söze. Singer prouve une fois de plus son goût pour le jeu de mots (jeu de dupes?): "kaiser" signifie "roi" en allemand et "soze" n’est autre que "loquace" en turc, autrement dit, en anglais, "verbal king", soit, à une lettre près, l’identité réelle du légendaire criminel. Dans Usual Suspects, le machiavélisme du personnage est d’autant plus puissant qu’il manipule non seulement les autres acteurs du récit mais également les spectateurs à qui l’on raconte une (ou plusieurs) histoire(s) pendant près de deux heures avant de leur révéler la supercherie. Citant Baudelaire, Kint/Söze clame que "la plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu'il n'existe pas". Il va sans dire que Singer est charmé par ces entités malignes. Durant sa jeunesse, le metteur en scène a fait partie de ce qu’il appelle un "nazi-club", groupe né non pas d’un sentiment antisémite mais de la fascination pour le Seconde Guerre Mondiale et, inévitablement, le nazisme, peut-être la forme la plus "concrète" du Mal dans l’inconscient collectif.


SEDUCTION OF THE INNOCENT


Il n’est donc pas étonnant de voir Singer adapter la nouvelle de Stephen King pour ce troisième essai, Un élève doué (1998), dans lequel un lycéen captivé par ce même sujet découvre l’existence d’un criminel nazi dans son quartier. Par conséquent troisième incarnation du Mal selon Singer, Kurt Dussander ne s’avère pas aussi malicieux que Kint et bien moins séduisant que Pritcher. Ainsi l’auteur prend cette fois ses distances avec son croquemitaine et sa représentation du Mal évolue afin d’apporter une nuance, ce qu’il va développer par la suite. Dans X-Men, Erik Lensherr, alias Magneto, est un survivant de l’Holocauste mais aussi un mutant. Victime d’une double discrimination (antisémite et anti-mutant), Lensherr choisit de lutter contre la race humaine qu’il estime inférieure. Choisissant de faire de sa quatrième incarnation du Mal une victime de la persécution qui devient lui-même un oppresseur, Singer évoque, comme il le faisait dans son précédent film, les dangers de cette fascination. Sa démonstration est soulignée dans l’épisode suivant, X2, où l’on assiste à la séduction du jeune John Allerdyce, alias Pyro, par Lensherr dont le magnétisme n’est plus seulement à prendre au sens propre mais également au sens figuré. Le passage à l’ennemi de Pyro sert de conclusion à l’arc du personnage dont on nous montre le désir d’appartenance à une famille, rejoignant ainsi un autre thème du cinéaste. Déjà dans Ennemi public, une scène maladroite voyait un adolescent éméché énoncer "les parents sont aveugles". Chez Singer, la remise en cause du rôle des parents est intimement liée à la quête d’une place au sein d’une famille. Qu’il s’agisse des parents inconscients des errances de leur fils dans Un élève doué ou des parents mutantophobes de Bobby Drake, l’alvéole familiale a son importance pour le cinéaste. Son œuvre est parcourue de personnages à la recherche d’une place quelque part, dans une famille de substitution, qu’il s’agisse de Verbal Kint, initialement exclu du groupe de brigands formé par les autres "suspects habituels", ou bien de Wolverine et Pyro, qui finiront par choisir des camps opposés, jusqu’à Superman, extra-terrestre désireux d’être accepté des humains comme l'un des leurs.


BRYAN’S SCHOOL OF GIFTED FILMMAKERS


D’un point de vue formel, il est assez difficile de situer précisément ce qui fait un film de Bryan Singer. Dès son premier essai, on note un goût prononcé pour une approche visuelle à la fois sobre et soignée. Les plans filmés à l’épaule sont extrêmement rares chez Singer. Il leur préférera toujours des cadres millimétrés, souvent fixes mêmes, et des mouvements de caméra harmonieux. A l’instar d’un Sam Mendes (sur ses deux premiers films), on pourrait le qualifier de cinéaste académique. Cependant, Singer a prouvé être capable de faire autre chose que des thrillers atmosphériques. Si l’on reproche souvent au premier X-Men la mollesse de ses scènes d’action, l’ouverture d’X2 est venu remettre tout le monde à sa place. Avec cette introduction, l’auteur prouve également sa préférence pour une utilisation sans esbroufe de la technologie numérique. Contrairement aux approches des frères Wachowski sur la trilogie Matrix, de Guillermo del Toro sur Blade II et Hellboy, ou de Sam Raimi sur les deux Spider-Man, lorsque Bryan Singer traduit le style comic book à l’écran, il choisit de ne pas trop s’appuyer sur des plans intégralement générés par images de synthèse et reste ancré dans la réalité. Si son adaptation de Superman promet quelques envolées où la caméra se fera plus libre et omnipotente, Singer semble demeurer un formaliste plus sage. L’aspect "Norman Rockwell" de certaines scènes de Superman Returns (2006) et le visuel "rétro" en hommage aux romances des années 40 et au Superman de Richard Donner (1978) témoignent d’un attrait pour un certain classicisme, et non un simple académisme. Toujours accompagné de son directeur de la photographie, Newton Thomas Sigel (images léchées, contrastes entre clair et obscur, entre chaud et froid), et de son monteur-compositeur, John Ottman (rythmique synchrone coupée au couteau), Bryan Singer a créé un langage cinématographique personnel achevant d’asseoir son statut d’auteur.



Robert Hospyan
Source => http://www.filmdeculte.com/portrait/portrait.php?id=175
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MessageSujet: Re: Bryan Singer, un auteur   Bryan Singer, un auteur Icon_minitimeMer 19 Juil - 5:24

bin j'ai beau ne pas avoir apprecié son superman, je reste assez d'accord avec tout ce qui se dit sur ce topic, il assure le pere singer.
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fabmovie
yakayo Man (adjoint du Taulier)
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MessageSujet: Re: Bryan Singer, un auteur   Bryan Singer, un auteur Icon_minitimeMer 19 Juil - 11:36

Je suis toutjours sur le cul de voir quelqu'un arriver à pondre des analyses pareilles !!! Chapeau bas à tous !!! Moi si ce n'est réciter les filmos, faire des comparatifs et dire que j'adore ce que fait le bonhomme depuis le début, ça s'arrête bien là (sauf pour les films pourraves mais là c'est le délire total loll) !!!
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MessageSujet: Re: Bryan Singer, un auteur   Bryan Singer, un auteur Icon_minitimeMer 19 Juil - 12:57

Très intéressant, je reverrai Supes avec un oeil neuf.
Merci Yann !
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Tayelore
Baboula (adjoint du taulier)
Tayelore


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MessageSujet: Re: Bryan Singer, un auteur   Bryan Singer, un auteur Icon_minitimeMer 19 Juil - 13:03

j'ai commencé à lire , ca a l'air trés good. Very Happy

mais un truc me "choque" Mr. Green

ils ont oublié de préciser que Singer n'est pas seulement un enfant adopté mais un enfant déraciné d'Angletterre adopté par une famille Anglaise.

Voilouu
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MessageSujet: Re: Bryan Singer, un auteur   Bryan Singer, un auteur Icon_minitime

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